Hauteur
Langage musical | Représentation graphique | Primaire | Secondaire | Formation obligatoire
Définition
La hauteur d’un son correspond à sa fréquence de vibration. Plus la vibration est rapide, plus le son est aigu, plus la vibration est lente, plus le son est grave. Les notes s’écrivent dans une portée et selon qu’elles sont en bas ou en haut, elles représenteront les sons graves ou aigus. Ainsi, la portée et les notes sont liées à la hauteur. (RÉCIT ARTS)
Représentation graphique : code non traditionnel conventionnel
Registre aigu (P) (S)
Se dit d’un son à fréquence rapide ou encore joué à droite sur un clavier de piano acoustique.
Registre moyen (P) (S)
Se dit d’un son à fréquence moyenne ou encore joué au milieu sur un clavier de piano acoustique.
Registre grave (P) (S)
Se dit d’un son à fréquence lente ou encore joué à gauche sur un clavier de piano acoustique.
Sons de l’échelle diatonique (P) (S)
Une suite de sons suivant le schéma des touches blanches sur un piano, de do à do.
Sons ascendants (P) (S)
Se dit d’une suite de notes jouées les unes après les autres partant du grave et montant vers l’aigu.
Sons descendants (P) (S)
Se dit d’une suite de sons partant de l’aigu et descendant vers le grave.
La note la plus haute (S)
Voir la section «infographie» pour représentation visuelle.
La note la plus basse (S)
Voir la section «infographie» pour représentation visuelle.
Glissando (S)
Il peut être ascendant ou descendant. Il s’agira de laisser glisser le bâton sur un xylophone ou en rentrant la coulisse d’une flûte à coulisse. Glissando veut dire « glisser », donc c’est l’action de glisser d’une note vers une autre.
Échelle linéaire (S)
Voir la section «infographie» pour représentation visuelle.
Modification de la hauteur du son (S)
Voir la section «infographie» pour représentation visuelle.
Représentation graphique : code traditionnel
Échelle diatonique (S)
Une suite de sons suivant le schéma des touches blanches sur un piano, de do à do.
Échelle chromatique (S)
Est composée de 12 degrés : 7 degrés de l’échelle diatonique et de 5 notes intermédiaires grâce aux altérations : dièses et bémols.
Notes (S)
Symbole ou lettre permettant de représenter un fragment de musique par une convention d’écriture de la hauteur et de la durée d’un son.
Clés (S)
Dans la notation musicale, une clef, ou clé, est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associée à chaque ligne.
Portées (S)
Ce sont cinq lignes parallèles qui forment la portée. On ajoute les lignes supplémentaires au besoin qui permettent l’écriture de notes plus graves ou plus aiguës.
À l’octave (S)
La transposition est l’action d’exécuter une pièce dans un autre ton que celui avec lequel il a été écrit. Transposer à l’octave signifie de garder les mêmes notes, mais à l’octave plus haute ou plus basse (p. ex. Do3 vers Do4).
Signes d’altération
Dièse (S)
Signe (♯) élevant d’un demi-ton chromatique la note gauche devant laquelle il est placé.
Bémol (S)
Signe musical (♭) abaissant d’un demi-ton la note gauche devant laquelle il est placé (qu’il bémolise).
Bécarre (S)
Signe placé à la gauche d’une note précédemment altérée, pour lui rendre sa tonalité naturelle.
Double altération (S)
Est l’altération qui élève la note de deux demi-tons chromatiques.
Signes d’altération à la clé (S)
Ensemble d’altérations réunies à la clé. Elle est composée soit exclusivement de dièses soit exclusivement de bémols — en dehors du cas particulier constitué par le changement d’armure. Ces altérations correspondent à la tonalité principale des mesures suivant la clé et des notes altérées à considérer pour l’ensemble de la pièce jusqu’à un éventuel changement de tonalité.
Altération accidentelle (S)
Une altération accidentelle est une altération qui est placée au sein d’une mesure (contrairement aux altérations constitutives). Son effet s’arrête à la fin de la mesure dans laquelle elle est placée.